Ce que j’ai appris à la Influencer Resumé Party

En changeant de pays, je savais qu’il allait falloir que je m’adapte et que je change certaines choses dans mon quotidien, mais aussi dans ma façon de procéder professionnellement parlant. Ici aux USA, la mise en page des CV est très différente de celle que l’on utilise en France. Il était important pour moi d’avoir un CV à jour, reflétant les nouvelles étapes de mon parcours professionnel. Que vous soyez en recherche de travail ou non, il est conseillé de mettre à jour son CV régulièrement, pour qu’il reflète votre situation actuelle. Alors quand Marlena m’a parlé de son workshop chez Meet in Place, j’ai été très emballée, car c’était pour moi la première occasion d’avoir un retour son mon CV en anglais part des locaux.

 

 

 

Le Lieu :

Vous est-il déjà arrivé de vouloir rencontrer des personnes pour un projet, mais d’avoir du mal à trouver un endroit adapté ? Meet in Place est un espace dédié aux rencontres professionnelles, et a été parfait pour le workshop ! Avec des bureaux à New York, à Londres et à Tel Aviv, vous pourrez profiter d’une ambiance intimiste et studieuse pour mettre en place vos plans d’action.

 

 

 

Voici les conseils que j’ai trouvé important à prendre en compte pour améliorer un sa candidature à l’anglophone  :

 

  • Ajouter un « Summary » à son CV: il s’agit d’un cadre qui résume et décrit en quelques lignes votre situation et vos aspirations. Il permettra aux ressources humaines de savoir qui vous êtes et de définir quel job vous conviendrait.

 

  • Adapter son CV en fonction du job : Un CV peut s’avérer grand et s’étaler sur plus de 3 pages quand on a beaucoup d’année d’expérience. Mais ça peut aussi être le cas si vous avez des compétences dans plusieurs domaines (l’informatique et la mode pour moi). Apprenez à épurer votre CV en fonction du domaine que vous voulez mettre en avant. Le mieux est de garder un CV de base avec toutes vos expériences, et d’envoyer une version personnalisée pour chaque job où vous souhaitez postuler.

 

  • Ne sous-estimer personne : Quand on veut mettre toutes les chances de son côté, je pense qu’il est recommandé d’éviter d’être médisants. Un certain niveau d’étude ou de salaire ne justifie pas le manque d’humilité et de gentillesse envers les autres professions. Et ce sont parfois ces personnes que certains ont tendance à négliger qui peuvent faire la différence sur votre candidature ou votre entretien.

 

  • Ne surtout pas envoyer sa candidature via les sites comme Indeed : Les entreprises qui veulent avoir accès à ces candidatures sont obligées d’avoir un accès payant. Le mieux est de suivre les instructions données via le site officiel de l’entreprise. Les candidatures via LinkedIn sont appréciées si vous rattachez votre CV pour avoir de meilleures chances de décrocher un rendez-vous (format PDF et/ou Word).

 

  • A ne pas faire DUTOUT : Mettre une photo (sauf mannequinat…), votre âge, votre statut marital et toutes autres informations pouvant permettre à l’employeur de faire de la discrimination dans votre CV. Pour les métiers de l’art : ne SURTOUT pas donner vos portfolios ! Beaucoup se sont fait avoir de cette façon par les plus grands… Pour info, il est interdit à New York que l’on vous demande vos salaires actuels lors d’un entretien, on peut par contre vous demander vos prétentions salariales.

 

  • Les remerciements : pensez à remercier vos interlocuteurs après un entretien via un email, afin de marquer les esprits.

 

Avez-vous des astuces à partager pour la rédaction des CV ou alors des conseils pour ceux qui passent bientôt un entretien ?

 

Avertissement: Cet article a été sponsorisé par Meet in Place. L’accès à leur locaux et aux équipements a été fournit pour un partenariat, mais ceci est mon opinion.

 

Mais comment j’ai atterri à New York ?

Tout a commencé avec mon parcours professionnel hors normes : j’ai choisi, oui, moi une fille, de bosser dans l’informatique. (10 ans le monde du stockage informatique) Oui, je pense qu’on peut dire que je suis une Geek. J’ai enchainé les coups de chance et j’ai été en formation à Boston pendant deux mois grâce à mon premier job. Bon, j’ai aussi bossé d’arrache pieds pour mes certifications, et pour avoir mon permis, car une meuf sans permis à ce poste, ça faisait pas mal jaser et pas mal de jalousies.

J’ai donc travaillé très dur, et mes efforts ont été reconnus. En quelques années et quelques petites mini promotions ici ou là, je me suis retrouvée dans l’équipe du weekend. Malheureusement, de trop nombreuses réorganisations ont saboté l’équilibre de l’entreprise et je me suis retrouvée désignée d’office comme volontaire pour quitter l’équipe. Je n’étais pas du tout d’accord.

Avec mon mari on parlait déjà de partir vivre à l’étranger, à Toronto pour être exact. L’annonce de ma rétrogradation a été suivie par l’annonce d’un plan de sauvegarde de l’emploi dans l’entreprise. J’ai donc cherché l’aide d’une conseillère qui m’a coachée pour écrire un projet (business plan en béton, merci Delphine), et ainsi être celle qui serait licenciée avec une belle prime de départ. Et ça a marché ! J’ai été choisie. Et au passage je remercie mon manager de l’époque qui avait tout fait pour me soutenir autant que possible.  Maintenant, vous vous demandez surement ce que j’avais mis dans mon projet ? Mes options étaient la création d’une entreprise pour faciliter l’accès aux vêtements grande taille de grande marque en France, faire une formation dans l’entreprenariat avec l’université de Toronto, suivre des cours en vue de l’obtention d’un MBA ou partir à l’étranger pour faire une formation dans la mode.

Et finalement, encore par un concours de circonstances, c’est la dernière option qui a remporté un franc succès. Je suis actuellement une formation dispensée par une école française en vue de l’obtention d’un diplôme de niveau master dans le monde de la mode.

*Short Sleeve Dress with Skirt Overlay (Cherry Tomato) – ELOQUII (lien)

*Photo – Thiphen Kys

J’ai 30 ans et…

J’ai 30 ans et je ne suis pas propriétaire de l’endroit où je vis.

J’ai 30 ans et je ne suis pas encore mariée.

J’ai 30 ans et je n’ai pas d’enfants.

J’ai 30 ans et je n’ai plus d’emploi stable.

Cette liste, je peux la compléter à l’infini ! Quand j’ai eu tout juste 20 ans, j’avais des projets. La majorité d’entre eux consistaient à accomplir cette liste ci-dessus et bien plus encore avant mes 30 ans. Mes tous ces projets sont-ils bien les miens ou ceux que le monde dans lequel je vis veut m’imposer ?

Il y a de cela 6 mois, je vous parlais de cette crise de la trentaine que je traversais dans l’article « Hello Midlife Crisis ». En relisant cet article aujourd’hui, je me rends compte que je me préparais petit à petit à accepter d’avoir 30 ans, ainsi que mes réussites et mes échecs.

Il n’y a pas longtemps, on m’a demandé ce que ça faisait d’avoir 30 ans, je peux dire aujourd’hui que ça m’a permit d’être plus indulgente envers moi-même. Et cette fameuse liste à accomplir a été remplacée par des règles  de vie à suivre pour la pérennité de mon bonheur.

J’ai 30 ans et j’assumes mon mode de vie.

J’ai 30 ans et j’accepte mes choix.

J’ai 30 ans et je vis pour moi, non à travers le regard des autres.

J’ai 30 ans et je pense à mon bonheur avant tout.

J’ai 30 ans et j’ai la vie devant moi.

J’ai 30 ans et je vis pour moi.

*NOIR Jolie Dress – ELOQUII (lien)
*Boucles d’oreilles créole – Claire’s
*Midnight Blue Pump – André (old)

*Photo – Rachel Saddedine
*Coiffure – AYAWA Hairstyle
*Ballon – HEMA

5 Pull Grande Taille pas si Moche que ça pour les fêtes de fin d’année

Soyons honnêtes, les pullover que l’on voit un peu partout dans le commerce durant les fêtes de fin d’année sont vraiment moches. Mais étant une grande fan de hauts avec à message sarcastique, je l’avoue j’adore ces horreurs ! Non pas que je les trouve beaux, mais c’est surtout que ça me fait bien rigoler 🙂 Alors afin que vous aussi vous puissiez vous marrer avec moi, je vous propose ici une petite sélection de pull pas si moche que ça !

1 – Le pull pour quand on t’embauche pour faire le Lutin du Père Noël parce que tu fais 1m50

Un grand classic, avec du rouge et du vert, la combinaison qui ne va pas du tout avec mon teint! Je porte un modèle qui vient de chez ASDA (un supermarché que l’on trouve en Grande Bretagne). Je l’ai acheté au début du mois et j’étais morte de rire devant la quantité de choix qu’il y a avait chez eux.

*Pull Elf George ASDA

2 – Le pull que ta grande-tante aurait pu te tricoter si tu passais la voir plus souvent

Et pour l’occasion H&M met les pieds dans le plat avec ce joli pull jacquard en maille disponible en deux coloris ! Il est assez mignon et parfait pour celles qui veulent faire semblant d’acheter un pull moche et qui recevront des éloges de la part de tout le monde toute la journée « Quoi tu trouves qu’il est joli ? Mais non c’est pas vrai, c’est mon pull moche!! »
Menteuse et hypocrite.

*H&M+ Pull en maille Jacquard (lien)

3 – Le pull pour quand tu te prends pour un sapin de Noël, mais que t’oses pas te balader avec une guirlande autour du cou

Alors là, j’ai beaucoup de question qui se bousculent dans ma tête… Il va falloir beaucoup d’auto-dérision à la personne qui se lancera dans cette aventure. Je suis mitigée : je me demande pourquoi est-ce que ce pull existe et en même temps je suis tenté de l’acheter pour le porter lors du repas de fin d’année qui aura lieu à mon ancien boulot jeudi prochain… Je fais quoi maintenant !?

*Club L+ Pull de Noël scintillant chez Asos (lien)

4 – Le pull pour quand t’as pas vraiment été sage et que tu veux quand même qu’on t’offre des cadeaux

Tu peux mettre ce pull quand t’as saoulé ton entourage pendant 365 jours et que sous le sapin il n’y a rien d’autre qu’une trousse de toilette générique et impersonnelle achetée dans un supermarché comprenant parfum, déodorant et gel douche de la même marque de produit cosmétique bas de gamme. Non, je plaisante. Ou pas. Tu te comporteras bien l’an prochain.

*Dear Santa Christmas Sweatshirt George Asda (lien)

5 – Le pull pour quand tu veux un abonnement Gaumont-Pathé sous le sapin cette année

Si tu ne sais pas d’où vient cette phrase, toi et moi on ne peut pas être ami. Oui, va sur google pour essayer de comprendre et reviens me voir après. Je suis sympa je t’épargne une recherche embarrassante, clic ici pour avoir la réponse –> « Merry Christmas, ya filthy animal »
De rien.

*Pull Plus Ivy Filthy Animal Boohoo (lien)

Avoir du style c’est bien. Être soi-même et garder une part d’autodérision, c’est mieux. J’ai trouvé ce pull lutin tellement moche quand je l’ai acheté, mais je me le suis approprié et au final je me trouve magnifique et hilarante dedans. Cet article c’est mon alter-ego sarcastique toujours prêt pour amuser la galerie qui l’a écrit. Et j’espère que vous allez rire autant que moi quand j’ai vu le pull guirlande de Asos (sérieusement, c’est quoi ce bordel).

Gros Bisous et Joyeux Fêtes !

Girlboss

Je n’ai pas fait partie du challenge French Curves en Septembre cette année, étant donné que j’étais occupée à profiter de New York et de Dallas. Mais vue que le sujet était important à mes yeux, j’ai voulu quand même poster un petit quelque chose sur le sujet.

GIRLBOSS… Ce mot m’inspire tellement de choses, je ne sais même pas par où commencer. Mais ma première pensée est pour Claire Sulmers de Fashion Bomb Daily. J’ai eu l’occasion de la voir plusieurs fois à New York, sans avoir la chance de vraiment lui parler. Et bien, je suppose que Dieu m’a entendu m’en plaindre dans ma tête ? Quand je suis revenue sur Paris, elle a organisé un Cocktail with Claire à Paris !!! Je travaillais ce jour là – en Normandie.. – mais j’ai pu être présente !

Si vous avez lu le livre de Claire « The Bomb Life« , vous savez déjà qu’elle a commencé en étant journaliste, stagiaire et blogueuse pour devenir aujourd’hui la fondatrice et rédactrice en chef de son propre site web. Elle s’est fait un chemin dans ce monde impitoyable qu’est la mode, et est maintenant à la tête d’un des blogs les plus influents de la mode. Son livre est un mémoire de sa vie avant la célébrité. Elle y donne aussi des conseils pour le blogging.

Mon look pour cet article a été influencé par les femmes qui comme Claire ont commencé en bas de l’échelle, ont eu des difficultés, mais ont réussi à avoir la vie de leur rêve. Claire a créé sa propre opportunité quand elle a compris qu’elle n’était pas obligée d’en attendre une.

Durant le cocktail j’ai aussi eu la chance de faire la connaissance de Bonang Matheba, business woman sud-africaine au multiple casquettes (animatrice radio et TV, icône de la mode…), dont ambassadrice et égérie de la marque Revlon en Afrique du Sud, Bonang a récemment sortit elle aussi son livre « Bonang From A to B« .

C’était aussi l’occasion de rencontrer du beau monde venant de tous les horizons : Afrique, USA, Europe… J’ai pu rencontrer beaucoup de femme qui en mon sens sont toutes des GIRLBOSS !

*Veste & Ceinture – Michael Kors
*Brassière à dentelle – Cacique Intimates de Lane Bryant
*Pantalon Kady Fit – ELOQUII
*Sandales Mini-Wedges – Torrid

*Photo – Rachel Saddedine
*Coiffure – AYAWA Hairstyle